• oici pour toi la fleur du printemps.
    Quelques brins de bonheur
    Son destin sera entre tes mains.
    En ce jour du 1er mai
    Pour t’apporter, chance sur ces longs chemins.
    Je t'offre ce poème, cet ornement.
    C’est bien peu
    Mais c'est avec mon coeur
    Et bien sincèrement.
    Que je te tends ce bouquet parfumé.
    Si petit avec des milliers de brins.
    Il me rappelle un si joli visage.
    Un sourire beau et reposant.
    Comme ce jour de 1er mai.
    Si doux, si pur ; dans ce paysage.
    Un don de la nature tout simplement.
    Ravivée par la fraîcheur du matin.
    Voila pour toi quelques brins de muguet.
    La fleur de l’amitié venue des temps lointain.
    Cueilli dans les champs, les prêts, au bord des rivages.
    Je t’offre la lumière de la réalité.
    Voici pour toi la fleur tu printemps
    Un bouquet aromatisé du bonheur.
    Conquis par l’histoire de l’humanité.


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    A nos adieux

    Publié par Christma le 2/11/2010 (89328 lus)

    En ce jour le monde est en deuil
    Et Nos souvenirs renaissent comme des feuilles
    C'est comme si c’était hier,et que le passé nous rattrape
    En silence nous pensons à eux et sommes handicapes

    Juste à cause d'eux on comprend vite que la vie n'est qu'une paire de deux
    Un bonheur et un malheur mais nos forces viennent d'eux
    Car ils sont là et ce sont nos ombres
    Ils apparaissent et disparaissent mais sont des plus proches
    Même si le monde leur réserve que le premier novembre
    En qualité de valeur, chaque jour on se souvient d'eux et de leurs reproches

    En souvenir des images, vidéos,chansons et même des paroles
    Mais aucun trésor pourra remplacer leurs cajoles
    Le ciel leurs a ouvert les portes du paradis
    Et dans nos coeurs ils auront toujours une place
    A une vie toute de songe la mort ne peut faire mal jadis
    Mais chaque mort,laisse une trace
    A nos adieux regret éternel.

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    Demain sera vide!

    Publié par Christma le 30/6/2011 (73995 lus)

    Demain sera vide

    Demain sera vide, tout sera triste 
    La vie n'est que location, n’est que du vent
    Elle fait du bien quand tu la ressens
    Et te fais du mal quand tout devient vide

    Demain te sera vide, les larmes te couleront
    Car tu ne sais pas ce que demain te réserve
    On imagine demain toujours comme un futur bon
    Souvent c'est avec demain qu'on réalise nos rêves

    Mais c'est ce même demain qui nous fait regretter
    C'est là qu'on souhaite tout recommencer
    Les peines alourdissent, le présent devient un passé composé
    Les épines de la vie te piquent pour te paralyser

    Demain te fera dire que t'inspire la vie
    Tu t’étonneras pourquoi tu aimes la vie ?
    Pourtant c'est cette même vie qui,
    T'a pris tout ce que tu portais dans le cœur
    La disparition éternelle de tous tes êtres chers
    Le manque d'être aimer sur cette même terre

    Alors tu te diras que la vie n'est pas,
    faite seulement de beaux moments, de joies et de toi
    Quand tu regarde autour de toi, plein gens que la vie n'a laissé aucun choix
    Entre l'acceptable et l'inacceptable, entre la présence et l'absence
    C'est à la vie de choisir où seront dirigés tes pas

    Demain peut être atrocement sauvage
    Demain peut te changer et t'éloigner du paysage
    Demain peut noircir tes pages et tes nuages
    Demain peut rendre inaccessible ton passage

    Même avec nos différences nous sommes tous liés
    Riche ou pauvre notre sort est marié
    Peu importe demain te sera triste ma sœur
    Tellement qu'il est fait ainsi; demain te sera vide mon frère
    Car il y'a pas de couleurs dans la vie...

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    BLAGUE BRUNE, ROUSSE ET BLONDE
     

    C’est l’histoire d’une brune, d’une rousse et d’une blonde. La première dit:
    - Pour savoir si j’ai passé une bonne journée en rentrant chez moi je lance mon manteau et si il reste accroché c’est que j’ai passé une bonne journée.
    La rousse dit:
    - Je lance mon sac et si il reste suspendu c’est que j’ai passé une bonne journée.
    La blonde dit:
    - Bé moi je lance ma culotte au plafond et si elle reste collée c’est que ma journée à était parfaite.


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    MONSIEUR LE VENT 
    ET MADAME LA PLUIE 

    (1880)

    Paul de MUSSET ( 1804-1880)

     

    PRÉFACE

    Vous saurez, mes chers enfants, qu'il y avait autrefois en Écosse un vieillard aveugle, à barbe blanche, nommé Issian, qui jouait très bien de la harpe et qui courait les rues en chantant des poèmes de son invention. Son père, Fingal, avait été un grand guerrier : c'est pourquoi Ossian chantait, de préférence à autre chose, les exploits du grand Fingal, son père. Après la mort d'Ossian, des bardes continuèrent à chanter ses poèmes, et c'est ainsi que ses vers sont parvenus jusqu'à nous. Mais les bardes ajoutèrent aussi des vers de leur composition. Les uns chantaient l'histoire de Fingal d'une façon, les autres d'une autre façon, et il était impossible de reconnaître dans tout

    cela la véritable histoire du grand Fingal.

    Un Anglais, nommé Macpherson, voulut démêler la vérité. Il partit pour l'Écosse et rassembla les divers chants des bardes. Il les arrangea, les accorda entre eux et en composa des poèmes que l'empereur Napoléon aimait beaucoup et lisait sans cesse. On a soupçonné Macpherson d'avoir imaginé une grande partie de ces poésies et de les avoir mises sur le compte d'Ossian ; mais c'est une chose qui n'est point prouvée. Qu'importe d'ailleurs de qui sont ces poésies, pourvu qu'elles soient belles et intéressantes !

    Il en est de M. le Vent et de Mme la Pluie comme du grand Fingal. Ma grand-mère racontait l'histoire de Mme la Pluie, sans parler de M. le Vent. Mon oncle savait l'histoire de M. le Vent, et ne disait rien de Mme la Pluie. Ma nourrice, qui était de Bretagne, mêlait ensemble les deux histoires et n'en faisait qu'une seule plus complète et plus merveilleuse. Il y a bien longtemps, je suis allé en Bretagne, et, pour suivre l'exemple de Macpherson, j'ai rassemblé tout ce qu'on y racontait de M. le Vent et de Mme la Pluie, qui fréquentent beaucoup ce pays-là. Comme vos mamans vous apprennent sans doute à détester le mensonge, je ne vous dirai pas que je n'ai rien ajouté aux récits décousus des paysans bretons, parce que ce serait mentir ; mais j'ai ajouté seulement ce qui était nécessaire pour lier les événements entre eux et remplir les passages qui manquaient absolument. Puisse ce conte de nourrice, mes chers enfants, vous amuser encore plus que l'histoire du grand Fingal ne divertissait l'empereur Napoléon !


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