• joyeux anniversaire maman

    Par Jean tartre dans poème le 31 Juillet 2014 à 10:29
    Po C3 A8me pour maman anniversaire Poème pour maman anniversaire
    Toi qui sais nous écouter
    Toi qui sais nous pardonner
    On voulait te dire pour tes 72 ans
    A quel point on est fières de notre maman
    Toi qui sais toujours nous protéger
    Toi qui sais toujours nous gâter
    On voulait te remercier
    Pour tout ce que tu nous as apporté
    Tu as toujours su accepter
    Nos choix les plus risqués
    Tu as toujours été là
    Dans nos pires tracas
    Parfois on ne sait pas ce qu’on serait
    Sans toi à nos côtés
    Car toi seule nous appris 
    Les plus belles choses de la vie
    Chaque jour on pense
    Qu’on a vraiment de la chance
    D’avoir une aussi jolie maman
    Qui nous aime autant
    Maman surtout ne change pas
    Sache qu’on a besoin de toi
    Car tu es tout pour nous
    Et on t’aime plus que tout

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  • le bonheur et l'amour

    Par Jean tartre dans poème le 31 Juillet 2014 à 10:23

     

    Le bonheur et l'amour.

    Recueil : Poésie et amour (1835)

    Le bonheur, c'est l'amour ! a son nom mon cœur tremble,
    Oh ! c'est qu'à ma pensée, il rappelle le tien !
    Si doux est de s'aimer, d'être toujours ensemble ;
    Si doux de se confondre en un long entretien !

    Puisque la passion ici-bas nous rassemble,
    Laisse contre ton cœur toujours battre le mien !
    Est-il à mon bonheur un bonheur qui ressemble,
    Quand je vis de ta vie en ce tendre lien ?

    Belle amie, à mes vœux, oh ! jamais ne t'oppose ;
    Cède-moi sans retour, ta beauté, fraîche rose,
    À peine épanouie et qu'on voudrait cueillir !

    Ne crains pas, tendre fleur, que ton éclat se fane,
    Ce front céleste et pur, dont tant de grâce émane,
    Ainsi que mon amour se pourrait se flétrir !


    Charles Potvin.

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  • roulette Russe

    Par Jean tartre dans poème le 21 Juillet 2014 à 11:12

    Roulette Russe

     

    Nous nous promenons dans notre éternelle solitude
    une aiguille pour balancier

    de loin, la silhouette du hasard
    nous épie

    le rideau se tisse
    un soupir après l’autre

    notre histoire glisse
    se dissout
    tombe

    Nous nous acheminons
    drogués vers la lumière
    le corps tiède

    l’archet frémissant
    sur le fil d’une inénarrable tendresse

    Sybille Rembard


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