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    pas de douleur pas de malheur
    une vie pleine de sentiments de chaleur
    pour des personnes de valeur.
    C'est ma façon de vous souhaitez
    bonne année 2014!


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  • Poème Joyeux Noël

    Le mois de décembre est déjà là. Il revient avec son lot de fêtes
    Fêtes de Bonne Année où mon cœur écrit des vers de vœux
    De beaux vers de Joyeux Noël qui par magie se font joyeux
    Ecrire un beau poème de Noël est un plaisir pour tous les poètes

    Le Sapin de Noël brille de milles feux qui éclairent nos demeures
    Les Guirlandes et les Boules de Noël disent la joie en nos cœurs
    Les cadeaux de Noël sont prêts, les enfants impatients de les ouvrir
    La famille réunie, le soir du réveillon les couvre de tendres plaisirs

     Belle fête du 25 décembre célèbre l’importance de l’amour et de l’amitié
    Il est né le Divin Enfant ! Croyant ou pas, Noël est une belle renaissance
    Croire au Père Noël ou ne pas y croire, fêter Noël est une douce chance
    Le réveillon du 24 décembre, un goût de Paradis quand on sait l’apprécié

    Petit Poème pour souhaiter un Joyeux Noël, d’agréables fêtes de fin d’année
    Court Poème pour présenter ses vœux et envoyer un petitmessage d’amitié
    Une Année se termine, le Nouvel An est là. La vie est un recommencement
    Que vos souhaits et vœux les meilleurs deviennent réalité, doux sentiments

    Par ce Poème de Noël, je vous écris que je vous aime infiniment
    La douceur des belles fêtes de fin d’année amplifie mes pensées pour vous
    Par ce message poétique de Joyeux Noël je vous fais un serment
    Serment de vous aimer éternellement, sans vous je ne suis rien, je l’avoue

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    Poèmes des Poètes

    Comme le nord et le sud qui s’attirent où se repoussent comme deux aimants
    Pourquoi le rouge et le noir s épousent-il autant ?
    Fuir le bonheur pour ne pas qu’il ne se sauve
    C’est fuir le quotidien par des florilèges de pseudo libertés à la guimauve

    Souffrir est un état d’esprit, triste, aux sinistres dédales
    Vouloir sortir de cette spirale
    C’est s’en donné les moyens
    Du soir au matin

    Ce complaire dans ce scénario baroque du cinéma de minuit
    Comme dans un film à la Fellini
    « La dolce vita », figurants extravagants
    Donc superficiels à souhait et parfois exubérants

    Ce mode de vie qu’on choisit, on se l’impose
    Et à forte dose elle implose
    La vie est trop belle pour qu’elle soit éternelle
    La vie est trop courte pour rester toujours belle

    Alors pour sortir de ce labyrinthe
    Il ne faut plus de craintes
    Des lendemains heureux
    Là alors le bonheur est possible et n’est plus hasardeux



    un soir ou mon esprit vagabonde comme ces rêves inachevés


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     Maux de tête

    Je ne suis personne, pas de prenom,

    Pas d'age, pas de nom,

    Je suis un mal de crâne inqualifiable,

    Qui rend t'a vie insurmontable,

    Mais il faut rester,

    Pour les autres et pour s'éclater,

    Des gens ont besoin,

    De toi pendant leurs vies pour partager joie et chagrins,

    Mais ce mal quand partira t-il ?

    Il n'y a pas de réponse clair c'est débile...

     

     

             Shimizu/sincere

          

              Ce poème est dédié à Jessy (un super ami) 

     


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  • Choc du retour de voyage

    aile d'avion dans le ciel
     

    N’avez-vous jamais remarqué quelque chose de bizarre au retour de voyage ?

    Lorsque l’on part en voyage, on vit de nouvelles expériences, on découvre beaucoup de choses et l’on se découvre soi-même. Le voyageur se nourrit avant tout du plaisir du dépaysement.

    Là est tout le contraste car quand on revient, rien ne nous semble nouveau. Et là aussi on a besoin d’un temps d’adaptation avant de revenir à son rythme dit quotidien. Pour beaucoup, cela ne leur pose aucun problème, mais moi, je trouve cela assez perturbant. Du moins assez pour pouvoir m’y intéresser.

    La grande difficulté à mon sens est qu’au retour ont à changé, nos valeurs, l’attention que l’on porte aux gens est différente d’avant le départ. Surtout lors des premiers grands voyages. Et lorsqu’il faut confronter ces changements au retour, et revivre une vie quotidienne avec ses nouvelles valeurs, on se retrouve souvent coincé. On apprend alors à vivre avec et à composer.

    Je tiens à me concentrer sur ce choc du retour. Et ce temps de réadaptation nécessaire à revivre le quotidien. Il existe plusieurs typologies de chocs auxquelles il faut se préparer.

    La nostalgie. Certaines personnes reviennent à leur pays d’origine avec une grande nostalgie du pays visité. Ils comparent beaucoup leur quotidien avec ce qu’était celui du pays visité. Le jugement de leur pays sera subjectif au travers d’un filtre du pays visité. Les gens paraissent fades, le quotidien morne. Par exemple, un ami revenu de Chine voyait la France comme un pays empêtré dans le béton de l’immobilisme alors qu’en Chine tout bouge et vite. Mais c’est sans regarder objectivement les deux pays, car chacun a ses qualités et ses défauts. Cette nostalgie est généralement suivie d’un manque d’énergie, d’une tristesse et une tendance à s’isoler. Il en suit tout un tas de contrariétés pouvant aller jusqu’à perturber la santé.

    Il arrive aussi qu’au retour, on ne se sente pas tout à fait revenu, on est encore dans cette mouvance du voyage car tout le monde vient vous voir et crier votre retour. Vous pouvez être dans une phase transitoire ou tout votre quotidien n’est pas encore installé. Mais votre entourage a tôt fait de vous réintégrer dans la réalité de votre quotidien et cela créer un réel choc. Le temps de se réadapter, on a la perception de vivre en marge. Différent de la culture visitée et en même temps changer par rapport à notre propre culture. On vit alors une sorte de spleen au quotidien.

    Préparer son retour de voyage en douceur

    Se préparer avant la date du retour à rentrer en saluant les gens que l’on risque de ne jamais revoir, en rangeant ses affaires et préparer ses valises.

    • Acceptez que votre cœur balance entre votre vie en voyage et votre vie au retour. N’oubliez pas qu’il y a beaucoup de choses que vous avez quittées en partant qui vous ont manqué. C’est peut-être bête mais pour moi, l’un des plaisirs du retour a été le fromage. Je pense qu’il ne faut pas oublier son voyage au retour mais l’accepter comme une part de soi et vivre avec.
    • Prévoir un temps tampon. Au retour, le mieux est de passer une nuit à l’hôtel ou chez un ami avant de terminer son trajet. Un ami habitant la Bretagne faisait souvent ça. Arrivée à Charles de Gaulle, il passait une nuit à Paris, seul, avant de repartir. Ce moment lui permettait d’accepter son retour et de doucement reprendre son rythme. Son conseil est intéressante même si je ne l’ai jamais expérimentée.
    • Au retour, profiter au maximum de ce qui nous a manqué. Comme le fromage par exemple.
    • Au retour, tout de suite, reprendre ses responsabilités du quotidien. Refaire des projets, aller de l’avant.

    Finalement le meilleur remède au choc du retour est le temps. Il permet de se sentir bien chez soi car on prend conscience qu’être ici, ce n’est pas renier son expérience mais c’est l’accepter comme une part de soi.

    Et vous, avez vous vécu un choc du retour ?
    Avez vous vécu avec la nostalgie du pays visité, la tête entre deux monde ?
    Quels ont été vos remèdes ?


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