• En exil

    Par Jean tartre dans poème le 18 Janvier 2011 à 23:22

    En exil

    Je suis comme en exil
    Dans un lointain pays
    Ou il fait si froid
    Mes pas doutent
    A chaque instant
    Sur ce long chemin ,sans retour

    Je ne vis poindre à l’horizon
    L’espoir d’un rayon du soleil
    Mon soleil s’est couché , tôt
    Il ne se relèvera plus dans ce monde

    Je ne cesse de rassurer mon cœur
    Qui me réclame au travers
    Des ses battements incessants
    Tel une musique mélancolique
    Du réconfort

    Je voudrais tant retrouver ce pays
    Ou ruisselle comme du miel ,le bonheur
    Comme aux temps jadis ,ou ta présence
    Illumine nos vies, comme le soleil

    Faudrait-il que je monte sur l’autel
    Des sacrifices tel ses adorateurs païens
    Pour implorer ta renaissance, mon soleil ?
    J’ai déjà la promesse certaine de te retrouver.

    Tu nous manques


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  • matin frileux

    Par Jean tartre dans poème le 18 Janvier 2011 à 23:21

    En ce matin frileux, gelé en mille lieux


    La nature engourdit, tente une sortie du lit


    Soudain l’astre de feu, apparait sous mes yeux




    Dans leurs manteaux de glace, les arbres lui font place


    Spectacle éblouissant, sur paysage si blanc


    Qui réchauffe mon coeur, malgré cette froideur

     

     

    SandrineB


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  • merci mon amie

    Par Jean tartre dans poème le 18 Janvier 2011 à 23:20
    poeme d'amitié

    Bien plus que ça
    *♥*♥*♥*♥*♥*♥*♥*
    Ai-je vraiment le droit
    De me confier ainsi à toi.
    As-tu vraiment besoin
    Que j'ajoute mes soucis aux tiens.

    Tu m'es plus qu'utile,
    Tu m'es nécessaire.
    Tes écrits même les plus futiles
    Me consolent et m'éclairent.

    Peu importe le moment
    Je sais que je serai écoutée.
    C'est souvent bien assez
    Pour me sentir rassurée.

    Qu'il est bon de pouvoir exprimer
    Ses états d'âmes en toute intimité.
    Qu'il est bon de songer
    Que c'est toi de l'autre côté.

    Malgré la distance
    Je sens ta présence.
    Il me suffit d'une pensée
    Pour te retrouver.

    Ce que je vois
    Je voudrais te le faire découvrir !
    J'aimerais que tu sois avec moi
    Pour mes peines et mes éclats de rire.

    Non, je ne saurai plus me passer
    De ces petits mots échangés.
    De ce soutient énergique
    De cette complicité magique.

    Je me sens privilégiée,
    De t'avoir rencontrée.
    J'espère avoir bien su t'exprimer
    L'importance de notre amitié.

    Merci mon amie...


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  • La poèsie notre passion

    Par Jean tartre dans poème le 18 Janvier 2011 à 23:18

    La poésie, notre passion…

     

     

    Découvrant toutes ces émotions,

    Dans la poésie, notre passion,

    Lisant vos poèmes, j’ai croisé vos destins,

    Depuis, nous nous donnons la main.

     

    Des liens solides ont été tissés,

    Un cordon d’amitié a été créé,

    Quand l’un de nous chavire,

    Un mot, va rendre le sourire.

     

    De douces mains essuieront les larmes,

    Sur les cœurs où la tempête s’acharne,

    Quelle belle et tendre cellule de l’amitié,

    Avec de réels moments de complicité.

     

    Vous les amies au tendre et grand cœur,

    Pour moi, vous êtes mes grandes sœurs,

    Donnant du courage dans les désespoirs,

    Ensoleillant nos pensées, des nuages noirs.

     

    Ces amitiés n'ont pas le poids des années,

    Mais dans nos cœurs, elles sont bien ancrées,

    D’une rencontre virtuelle, mais bien réelle,

    Sœurs de cœur, vous êtes devenues mes jumelles.

     

     

    ©Roman


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  • aurevoir

    Par Jean tartre dans poème le 18 Janvier 2011 à 23:17

    Aurevoir

    La patience a ses limites

    Que le coeur ne connait pas,

    Et la raison que sa voix me dicte

    Disparaît à chacun de mes pas.


    Je ne doute plus de mon amour,

    Et c'est aujourd'hui que je te perds,

    Et si vers toi mon coeur accourt,

    J'apprendrais à le faire taire.


    Je fermerai mes yeux à tes sourires,

    Dompterais la passion de mes rimes ;

    Je cesserais de guetter ton rire,

    Oublierais la saveur des hautes cimes.


    Mais jamais je n'oublierais ta douceur,

    Jamais je n'oublierais ce bonheur ;

    Je le graverais au fer rouge sur mes lèvres

    Pour forcer mon sourire à esquisser ce rêve.


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