Une nuit sous les étoiles
Une nuit sous les étoiles
A oublier que l'on existe
Pour devenir en sois le mélodiste
Qui perle de vie suce la moelle
De la canopée stellaire
Enfant terrible qui pousse à la rêverie
Tissant du ciel des soieries
Qui au petit matin s'envollent dans l'air
Petit bout d'espace
Qui signal au rêveur solitaire
L'étrangeté du temps qui passe
Et le plonge o merveille aux source de l'univers
Effronté destinée
Que de s'abandonner
Au rythme layonné
des énergies combinées
Qui circulent dans notre esprit
Comme vogue sur les océans cérébraux
Le cachalot de notre propre chaos
Lever de rideau sur un être qui prie
Et qui jamais ne s'endort
Sans s'attacher au mépris
De ces quelques duperies
Etendard de l'âge d'or
Que l'homme et ses facéties
Entretient de manière peu anodine
Avec la société sorte de kadine
Qui se soumet à imaginer l'ultime prophétie
Orgueilleuse solution d'âme
Qui laisse chatoyante
L'extase clairvoyante
De quelques grammes de came